Le score du Front national s’explique par la démobilisation de l’électorat de gauche face à une surmobilisation des électeurs frontistes. Ceux-ci ne se recrutent pas parmi les plus précaires, explique la chercheuse Nonna Mayer, mais parmi ceux qui craignent de perdre ce qu’ils ont acquis. Article du Courrier des Maires du 24 mars 2014.
Peu avant les municipales, le MNCP a été interviewé : existe-t-il un fort rapport entre précarité et vote FN?
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